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Charco del Chalet. Fleuve Guadiaro. Cortes de la Frontera

Diputación de Málaga
36 Charco del Chalet. Río Guadiaro. Cortes de la Frontera

Charco del Chalet. Fleuve Guadiaro. Cortes de la Frontera

  • Espace protégé: Parc Naturel Los Alcornocales (chênes-lièges)
  • Versant: District Hydrographique Méditérranéen
  • Cours fluvial principal: Fleuve du Guadiaro
  • Commune: Cortes de la Frontera
  • Coordonnées: x : 287453 / y: 4046474 / z: 206 m
  • Localisation: Facile
  • Accès: Facile
  • Intérêt pour la baignade: Moyen

 

Comment s'y rendre:

Depuis El Colmenar, commune rurale de Cortes de la Frontera, nous cherchons la rue en direction de la centrale des Buitreras (Nids de Vautours), dument indiquée et rejoint le SL-A 34.
Après avoir parcouru un peu plus de 500m, nous accédons au solarium de cette installation hydro-électrique.
A l'extérieur, il y a un peu de place pour se garer.
Nous abandonnons le sentier après avoir longé l'énorme tube qui transporte et relâche l'eau capturée quelques kilomètres plus haut, dans le barrage des Buitreras (barrage des Nids de vautours).
A présent nous descendons par un chemin en direction du fleuve.
Bientôt nous atteignons l'étang du Chalet, dont ne nom émane du bâtiment près de la centrale, avec ses airs de grande demeure bourgeoise.

 

Informations importantes:

La rivière délimite les communes de Cortes de la Frontera et Benarrabá.
Il s'agit d'une mare particulièrement intéressante pour la baignade, suffisamment étendue pour pouvoir y faire quelques longueurs.
Sur la rive opposée, une corde est habituellement accrochée et on peut donc se balancer.
On peut se reposer sur une esplanade rocailleuse mais qui n'est pas pour autant inconfortable.
Un peu plus haut mais non loin de là, on atteint la mare del Polvorín, appelée ainsi du fait de la présence sur le talus d'une petite maison en pierre utilisée dans les travaux du chantier hydro-électrique.
Ce bain dispose d'une coquette petite plage de sable.
A la surface des deux mares, on observe d'énormes barbeaux qui font partie de l'alimentation des loutres, fréquentes dans le Guadiaro.

 

A prendre en compte:

Que ce soit dans la mare du Chalet comme celle du Polvorín nous n'avons pas pied à certains endroits, bien que cette circonstance varie selon la pluviosité de l'année
Il est tout à fait possible de marcher sur le propre lit du fleuve pour aller d'un bain à l'autre.
Celui du Polvorín retient ses eaux grâce au muret de terre par où on traverse généralement vers l'autre rive.
Sur les terrasses des environs, paissent des vaches et des chevaux que nous ne devons pas déranger.
Il n'est pas recommandé de sauter depuis les rochers qui bordent les rives.
Les fonds de ces deux mares sont invisibles du fait du courant de l'eau et de la formation des lits de sable.

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