Ce site web utilise ses propres cookies ainsi que ceux d'organismes tiers afin de regrouper l'information permettant d'optimiser la visite, bien qu'ils ne puissent en aucun cas servir à des fins personnelles.

Politique de cookies

Piéride du réséda ou Marbré de vert. Pontia daplidice (Linnaeus, 1758)

Diputación de Málaga
036 Blanquiverdosa

Piéride du réséda ou Marbré de vert. Pontia daplidice (Linnaeus, 1758)

Présence
JanFévMarAvrMaiJuiJuiAoûSepOctNovDéc
Apparence sécurisée Apparition probable
MediosTerrestre
Faune > Papillons

Envergure des ailes : entre 3,8 et 4,5 cm.

Routes celle observée

Identification

Ailes ouvertes : blanc, avec l’apex de l’aile antérieure noir taché de blanc, il présente une tache arrondie noire au milieu de l’aile, traversée par les nervures blanches et il a une tache noire près de l’angle anal. L’aile postérieure comporte des taches noires en plus ou moins grande quantité, dont la forme est identique à celles de la face externe de l’aile.

Ailes fermées : l’aile postérieure est verte, avec une longue tache blanche, sinueuse et très anguleuse la parcourant en grande partie (variable selon les individus) ; d’autres taches partent également du bord vers l’intérieur.

Espèces similaires

Aurore : avec les ailes fermées, il a beaucoup plus de taches blanches et ses bords sont plus irréguliers ; la femelle présente du noir seulement sur l’apex de l’aile antérieure.

Marbré de Lusitanie : son aspect est plus jaunâtre et les taches blanches sont arrondies ; il n’a pas de longues taches sur le bord arrière. Marbré de

Cramer : ses taches blanches sont arrondies et il n’a pas de longues taches sur le bord arrière.

Piéride du navet : il a de longues taches blanches striant l’aile. Ces quatre espèces, avec les ailes ouvertes, n’ont pas de taches sur l’aile postérieure ni de tache proche de l’angle anal sur l’aile antérieure.

Biologie et Habitat

Plusieurs générations se chevauchent durant toute l’année. L’abondance de la génération de l’automne dépend en grande partie des précipitations de la fin de l’été. Il vit dans une grande variété d’habitats ouverts, de la haute montagne aux milieux urbains, où on le trouvera dans les parcs et les jardins. Les chenilles s’alimentent, entre autres, des crucifères biscutelle (Biscutella spp.), faux rapistre blanchâtre (Hirscfeldia incana) et alysson maritime (Lobularia marítima), ainsi que de la plante herbacée réséda blanc (Reseda alba).

Répartition Gran Senda

Il peut être observé sur toutes les étapes du GSM ; plus rarement et de façon plus localisée sur celles du littoral et du nord de la province.